PC breakdown et vacances en bretagne
Le pc est mort (vive le pc!). Nous pleurons tristement son décès et saluons au passage la masse innombrable de ceux dont le fidèle compagnon informatique a décidé un jour au mépris de tous les délais de boulot à respecter de claquer leur pile (interne, bien entendu). Qu'en pensez vous, professeur Choron? Qu'ils crèvent...
En attendant, nous aborderons aujourd'hui la question hautement intéressante des Jeux de Rôles Grandeur Nature. Car en effet, ce week-end, j'ai participé à un petit GN (prononcez "Géhenne" mais sans l'accent du fond des enfers), et j'ai trouvé l'activité trop intense pour un costume trop travaillé. Je m'explique: imaginez que vous incarnez une Bohémienne, vous portez forcément une robe parée de force jupons et dentelles, ce qui n'est pas du tout adapté à un crapahutage intensif à travers les ajoncs et les ronces. Et croyez-moi, ça s'est vu. Si vous participez à un GN, pensez donc à faire un costume crédible, mais compatible avec le terrain pratiqué. Bientôt (en fait, pas avant deux semaines, mais bon, bientôt), vous aurez droit à quelques dessins de scènes-clés de l'intrigue, vue du côté des méchants. Bah, oui! Vous ne pensiez tout de même pas me voir incarner un loyal/bon, non?
Le système de combat pouvait se régler de deux manières. Soit un accord préalable entre les joueurs définissant une scène de combat réelle avec nos épées en mousse, supervisée par le Meujeu, soit un combat figurée axé plus sur la chance et le pari, basé sur un système Pierre-Feuille-Ciseaux. Pas mal, assez bien pensé et assez jouable, permet notamment à chaque joueur d'avoir sa chance. Etant donné le nombre de joueurs (11 dont un Meujeu, pour les archives), c'était tout de même chaud à gérer, donc bravo au Meujeu, tu as gagné le droit de te faire dessiner la tronche en costume et de te faire poster ici même ultérieurment.
Je vous raconterai une autre fois l'histoire de ce GN, quand je pourrai de nouveau scanner des dessins.
En attendant, je vous laisse avec le Fan-art de la semaine, tiré de mes archives poussiéreuses d'où émane une lueur verdâtre peu rassurante, qui honore un personnage très secondaire mais non moins important d'un album de Spirou.
Buena Sera, tutti!