Bonne fête...youplaaaaâââ...
Salut salut...
Oui, aujourd'hui, ou plutôt hier, c'était ma fête.
Et dans la même journée, j'ai subi une rupture non-désirée, un rangement d'appartement en catastrophe pour une visite, le départ précipité d'une purge qui arrive à perdre et oublier son billet de train deux fois en 24 heures, mes plans pour les prochains mois foutus en l'air (encore. Remarquez, si j'en faisais pas, on me les ruinerait pas...), mes toilettes qui déconnent et une fuite d'eau d'origine inconnue aux alentours de mon frigo.
Personnellement, j'essaie de prendre tout ça avec philosophie, voire avec une certaine dose d'humour.
Mais c'est pas facile, et comme la rupture de toute réponse nerveuse a déjà sonné trois fois à la porte, nous allons laisser la place au maître incontesté de l'aliénation mentale, j'ai nommé le Grand Cthulhu.
Cette gentille petite blagounette a poppé en plein scénario du jeu de rôle L'Appel de Cthulhu, jeu d'investigation dans une époque de début du XXe siècle, particulièrement axé sur l'horreur et la folie, et où vient s'ajouter aux caractéristiques basiques de l'être humain (force, dextérité, constitution, intelligence, sagesse et charisme, ou leurs équivalents) la SAN, ou Santé Mentale...que l'on perd d'ailleurs à une vitesse affolante dans le jeu! Donc, si vous entendez quelqu'un parler d'une quelconque perte de points de SAN (prononcer "sane"), méfiez-vous! Ce type est sans doute un rôliste...